Quelle côte pour arriver à l'hôtel ! Ne le répétez pas, j'ai mis pied à terre, et j'ai poussé le vélo pendant une centaine de mètres, mais à la faveur d'un replat, je suis remonté sur le vélo, ce qui m'a permis une arrivée triomphale ! Du coup le patron m'a offert un "remontant" (c'était bien le moment !), un eau de vie d'abricots ("marille" pour les intimes) délicieuse.
A part ça, l'étape était relax, 35 km en plat parce que oui, j'ai rusé et évité la rampe du départ, dont je vous parlais hier. Parcours distrayant, sur routes partagées mais assez calmes.
35 km, 170 mètres de dénivelé positif, dont 100 mètres dans le dernier kilomètre.
Après Furstenfeld, j'ai quitté pour un moment l'eurovélo 9 pour faire une longue ligne droite sur un chemin en forêt, très agréable, mais qui serait à éviter en cas de pluie. Comme toujours, le profil de dénivelé est complètement faux.